Les directeurs généraux de la Commission européenne, lorsque nous les rencontrons, témoignent souvent d'une surcharge de travail dans les services et d'un besoin d'effectifs supplémentaires. Or en séance, hier soir, la secrétaire d'État chargée de l'Europe a déclaré, à propos du cadre financier pluriannuel, qu'aucunement la France n'abonderait une demande de moyens complémentaires pour le fonctionnement des institutions de l'Union européenne.
La multiplication, que vous avez décrite, de ces sous-groupes et de ces sous-commissions n'engendre-t-elle pas une inflation de travail artificielle ?