On risque donc d'introduire plus de complexité. Or M. Raynal a raison : dans un projet de loi organique, il faut écrire le plus simplement possible, sous peine de rendre le processus moins fluide.
Le système comprend actuellement des éléments de souplesse qui n'existaient pas auparavant : la fongibilité entre la DETR et la DSIL, la possibilité de revenir sur des subventions non consommées, etc. Tout cela permet désormais une réactivité au long de l'année.