Monsieur le ministre, je note que je ne suis pas le seul, puisqu’un quart des membres de votre majorité à l’Assemblée nationale et un certain nombre de ministres sont d’accord avec ce que je viens de dire. Ils ont d’ailleurs soit voté contre le texte soit présenté leur démission.
Outre le vote de ce texte, cette date signe pour nous un pas décisif franchi par le Président de la République. De rempart face au Rassemblement national, vous êtes devenu marchepied de l’extrême droite !