Cet ajout permet en effet de préciser la suite des évènements. Le partenariat oriental a aidé fortement les pays concernés à se rapprocher de l'Union européenne. Les crédits qui lui sont alloués ont vocation à être maintenus à l'égard des pays candidats, mais aussi de ceux qui ne le sont pas, comme l'Arménie. La procédure de candidature, qui devrait mettre un certain temps à se mettre en place, sera accompagnée de crédits complémentaires.
La proposition de Gisèle Jourda ne soulève donc pas de difficultés.