Je vous remercie, monsieur le ministre, pour ces éléments. Nous attendons évidemment que la France défende cette position. Vous êtes venu en Haute-Savoie et avez bien vu l’impact de la prédation.
Dans les précédents plans Loup, le seuil de viabilité était estimé à 500 bêtes. Aujourd’hui, le nombre de loups, même s’il faut faire attention à la manière de les compter, est au moins le double !
Il est extrêmement important d’envoyer un signal positif à l’agropastoralisme et à nos agriculteurs qui, aujourd’hui, souffrent beaucoup sur le terrain.