Cette réforme intègre effectivement les autres aspects de la politique énergétique. Vous pouvez être rassuré sur ce point, monsieur le sénateur.
Le chèque énergie, dont le montant moyen s’établit à 150 euros, est actuellement versé à 6 millions de personnes. Il est évident que cette politique sociale sera préservée.
Par ailleurs, je me suis battu pour que les tarifs réglementés de vente de l’électricité (TRV) concernent, non pas les seules entreprises dont la consommation n’excède pas un certain seuil de kilovoltampères, mais toutes les petites entreprises de moins de dix salariés.
Cet élément de simplification et de protection des plus petites entreprises montre que ce n’est pas parce que l’énergie passe à Bercy que nous perdrons de vue les objectifs sociaux et environnementaux. Bien au contraire, ceux-ci restent au cœur de notre politique énergétique.