Je vous accorde qu’il faut que nous allions plus loin, sur plusieurs sujets, madame la sénatrice. Mais nous devons avancer différemment, en particulier sur le Green Deal. Lorsque celui-ci a été décidé, personne n’y a trouvé grand-chose à redire. Nous aurions pourtant dû – c’est valable pour nous tous – nous interroger davantage sur la compatibilité entre les exigences environnementales du Green Deal et les capacités productives de la France.
Je rappelle au passage que la présidente de la Commission européenne elle-même appartient à une obédience politique qui est proche de la vôtre, madame la sénatrice.