Madame la ministre, si la navigation est interdite, cela représentera une perte de plus de 500 millions d’euros pour les filières françaises. Comprenez bien que chaque jour de retard supplémentaire prendrait des proportions exponentielles.
Vous savez aussi que nous sommes, en France, les stockeurs de nos clients africains, indiens ou égyptiens, et que si nous ne les livrons pas, les conséquences humaines seront dramatiques.
Madame la ministre, il est impératif – j’y insiste – de trouver une solution viable dans les quinze prochains jours pour que les filières puissent s’organiser.