Dans la foulée de ce qu’ont dit nos collègues Élisabeth Doineau et Philippe Grosvalet, je veux redire que le dispositif prévu ne constitue pas une contrainte.
En effet, les CCAS font déjà ce travail. Dans chaque commune, on connaît à peu près le nombre de sans-abri dont il faut s’occuper.
Bien au contraire, il s’agit non pas d’une contrainte, mais d’une reconnaissance d’un phénomène qui se développe partout, y compris en milieu rural. En l’officialisant, nous prenons le problème à bras-le-corps et reconnaissons qu’il s’agit d’un problème non pas simplement urbain, mais de toutes les communes.
Je suis dans une commune de 7 000 habitants, où l’on connaît très bien le nombre de sans-abri. Nous demandons simplement la prise en compte de ce phénomène.