« Le dérèglement climatique, ce ne sont pas seulement quelques degrés de plus ; ce sont des vies détruites par les intempéries ; ce sont des exploitations agricoles menacées et, avec elles, toute notre capacité à nous nourrir ; ce sont des maisons et des immeubles menacés par la montée des eaux ou fissurés par les mouvements des sols.
« Face à ces constats, certains voudraient une écologie de la brutalité. Pour eux, l’écologie doit être punitive et douloureuse ; elle doit passer par la désignation de boucs émissaires et par la décroissance.
« La décroissance, c’est la fin de notre modèle social. C’est la pauvreté de masse. »