Intervention de Michel Tsimaratos

Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques — Réunion du 18 janvier 2024 à 9h35
Audition de l'agence de la biomédecine sur les évolutions récentes des connaissances et des techniques dans les domaines relevant des lois de bioéthique

Michel Tsimaratos :

L'Agence assure un contrôle direct et met en lien les receveurs et les donneurs. Quand nous savons qu'il y a eu un prélèvement de pancréas à Toulouse et que nous avons sur la liste un receveur à Lille, on transporte le greffon jusqu'à Lille. De plus, cela fait vingt ans que l'on soutient cette activité de recherche, qui a été caractérisée comme des soins courants, c'est-à-dire remboursés par la Sécurité sociale, depuis deux ans. C'est un continuum, ce qui fait le lien avec votre question sur la recherche. L'Agence ne contrôle pas la recherche, mais y contribue. Elle distribue un peu plus de 1 million d'euros dans des appels d'offres recherche thématiques (greffe, cellules, procréation, génétique, etc.). On tient un registre des maladies rénales chroniques à partir duquel on fait un appel d'offres recherche pour les équipes, pour progresser dans la compréhension de l'évolution de ces maladies. On participe grandement à cette activité d'évaluation.

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