Sans vouloir le moins du monde vous être désagréable, monsieur le ministre, je vous avouerai d’emblée que j’aurais aimé voir siéger à vos côtés M. le ministre de la culture et de la communication. Certes, je n’ignore pas que le ministère des affaires étrangères et européennes doit être le pilote de cette action, mais je tiens à dire dès le début de mon propos que l’implication du ministère de la culture est nécessaire et doit même être constante.
À cet égard, il ne saurait être question de concertation épisodique.