Monsieur Cointat, j’ai le plus grand respect pour l’Assemblée des Français de l’étranger. Elle réalise un excellent travail et remplit la mission qui lui est assignée par les textes.
Toutefois, il s’agit, ici, de désigner la représentation parlementaire. On ne peut pas, quel que soit le crédit que l’on accorde à l’Assemblée des Français de l’étranger, mettre cette dernière sur le même pied que le Sénat et l’Assemblée nationale.
Vous comprendrez, par conséquent, que je sois opposé à votre amendement. Comme vous le savez, mais c’est un autre débat – amical, d’ailleurs ! – entre nous, je n’ai jamais considéré qu’il puisse y avoir une collectivité locale des Français de l’étranger : cela me paraît rigoureusement impossible.