M. Luc Chatel, ministre. Simplement, monsieur le sénateur, force est de le constater, le décrochage scolaire peut conduire à l’oisiveté, et les jeunes sans activité sont exposés à des risques que l’on connaît et que les familles, les éducateurs vivent au quotidien ; ce peut être la spirale vers la délinquance.