Monsieur le sénateur, je souscris pleinement aux propos de Mme Sylvie Desmarescaux : bien évidemment, notre objectif est d’aider les étudiants du secteur médico-social. Il ne s’agit pas de les laisser dans la difficulté !
La date butoir du 31 décembre 2012 a été retenue, mais, bien entendu, nous souhaiterions pouvoir régler le problème plus rapidement. Toutefois, sachant que les financements des établissements sont extrêmement complexes - ce sont des financements croisés qui engagent l’État, la région, les départements et les associations -, nous ne pouvons pas affirmer qu’une solution efficace aura été trouvée dans six mois ou un an. Ne nous racontons pas d’histoires ! Puisque nous sommes entre nous, nous pouvons nous dire la vérité les yeux dans les yeux !
Il faut sortir ces étudiants de la difficulté dans laquelle ils se trouvent à l’heure actuelle, étant rappelé que le stage peut représenter jusqu’à 50 % d’un cursus. Nous sommes réunis aujourd’hui pour leur apporter une réponse.