des affaires sociales, cette fois, pour adresser à Jean-Louis Lorrain mes remerciements pour le courage dont il a fait preuve en acceptant de reprendre au vol un texte difficile et controversé. Nous avons tous été impressionnés par sa capacité d’adaptation et son efficacité.
Ma gratitude va aussi à Jean-René Lecerf, rapporteur pour avis de la commission des lois, qui a fait preuve, une fois encore, de la rigueur juridique que nous lui connaissons.
Je remercie, bien sûr, nos présidents de séance, Bernard Frimat, Jean-Léonce Dupont, Roland du Luart et Roger Romani, sans oublier le président Larcher, qui a ouvert notre première séance.
Ce texte, dont le parcours n’a pas été tout à fait comme les autres, doit encore nous revenir en deuxième lecture. J’espère que son cheminement ultérieur sera moins... pittoresque