La commission est défavorable à ces quatre amendements : la fusion-absorption doit être opérée au 1er janvier 2009, pour des raisons de simplicité comptable et fiscale.
Par ailleurs, la commission ne perçoit pas quel sens exact aurait l’alinéa visé de l’article 51 ainsi modifié.
Enfin, elle tient à souligner qu’en matière de fusion-absorption, la rétroactivité est, en pratique, la règle.