Nous regrettons, il est vrai, de n’avoir pas pu débattre en amont de la suppression de la publicité, pour des raisons de calendrier tout à fait évidentes. Mais c’est la longueur du débat à l’Assemblée nationale et non le Gouvernement qui en est responsable. Cela ne nous a pas fait plaisir, certes, mais toutes choses étant égales par ailleurs, les piliers de la République ne me semblent pas avoir encore tremblé.