Monsieur Bel, vous avez également évoqué la question de l'articulation entre le dispositif d'apprentissage et l'impératif de scolarité obligatoire à seize ans. Mme Printz a elle-même consacré l'essentiel de son intervention à ce sujet. Votre interrogation est légitime.
Dans le Nord-Pas-de-Calais, une expérience a été menée : le « lycée de toutes les chances ». Nous avons essayé de travailler sur le décrochage : 6 % des jeunes sont concernés. Est-on certain de ne pas se tromper en leur faisant croire que, coûte que coûte, ils passeront une agrégation de sociologie ?