Monsieur Vera, avec tout le respect que je vous dois, je saisis mal votre logique.
Nous avons en effet passé l'après-midi à proposer une réforme de la taxe professionnelle, avec pour seul objectif l'allégement de la fiscalité des entreprises, afin de les encourager à embaucher et à investir.
Ayant convaincu une part très significative de votre assemblée, il me restait à en convaincre l'autre partie. Or voilà que vous me sapez le travail !