C'est déjà important, et je comprends que le président de la commission parle d'équilibre fragile.
L'amendement ferait supporter à la collectivité 200 % les deux premières années et ensuite 100 %, c'est-à-dire que la collectivité paierait nettement plus que le coût réel de l'agent. Voilà où nous en sommes dans les calculs d'épicier !
Le problème le plus gênant, selon moi, est posé par les gens que l'on n'arrive pas à réaffecter, notamment entre 60 et 65 ans, parce qu'ils refusent systématiquement les postes proposés.