Monsieur le haut-commissaire, permettez-moi d'abord de vous dire - ce n'est pas mon habitude, et je crois même que c'est la première fois que je le fais - combien j'ai trouvé votre intervention dense, riche et de très grande qualité. Je regrette cependant, le temps dont vous disposiez vous y a peut-être contraint, que vous ayez adopté un rythme trop rapide. Je souhaite donc que chacun la relise à tête reposée et la médite. Je crois qu'elle le mérite tant elle contient de propositions et a de sens.