Il avait déclaré que la France était « favorable à une ouverture, maîtrisée et progressive, des marchés électriques et gaziers », mais qu'un « développement harmonieux de ces marchés en Europe ne saurait résulter de la seule ouverture juridique à la concurrence », qu'il passait « également par des garanties sur une ouverture effective des marchés dans l'ensemble de l'Union [et] la prise en compte de la notion de service public ».
Quant aux socialistes français, ils s'étaient clairement opposés, au Parlement européen, à l'ouverture totale à la concurrence des marchés énergétiques, au 1er juillet 2004 pour les entreprises et au 1er juillet 2007 pour les ménages.