Madame David, je respecte les positions qui sont les vôtres.
Je reviendrai sur deux points.
Concernant la pérennité du mécanisme de crise, contrairement à ce que vous avez dit, il ne s’agit nullement d’un abandon à la Commission. C’est, au contraire, le moyen de faire fonctionner cette caution entre les États.
Quant au comparatif sur les retraites, je le tiens à votre disposition. Le voici. §