Nous sommes favorables à cet amendement, qui est très intéressant.
Toutefois, je ferai observer que les commissions cantonales d'admission à l'aide sociale peuvent faire remonter la recherche des obligés alimentaires jusqu'aux petits-enfants. Pour notre part, nous souhaiterions, comme cela a été décidé dans le département du Rhône, que les petits-enfants, qui sont souvent déjà confrontés à un certain nombre de difficultés, ne soient pas considérés comme des obligés alimentaires, car cela peut parfois poser problème dans les familles.
Cela étant précisé, nous voterons l'amendement.