C'est en effet un signal de fermeture de l'université alors que nous voulons l'ouvrir sur le monde extérieur. L'on s'éloigne donc quelque peu de ce qui pour moi aurait été la solution idéale, déjà tentée dans les universités de technologie, à savoir un conseil d'orientation qui se rapproche du board qui existe dans de grandes universités étrangères. Mais sans doute n'étions-nous pas mûrs pour une telle solution en France...
Cela étant dit, je vous remercie, madame la ministre, de prendre un risque, car il n'y a pas de réforme sans risque. Je ne sais pas encore si je vais voter le texte, ...