Monsieur le président, monsieur le haut-commissaire, mes chers collègues, le RSA était une promesse du Président de la République. Elle sera tenue aujourd'hui, ou peut-être demain, après de nombreux autres engagements.
Ce dispositif est institué grâce à vous, monsieur le haut-commissaire. Son bien-fondé est incontestable. Prestation unique simplifiant le régime des aides, il constitue une imparable réponse au faux procès en « injustice sociale » qu’on intente au Gouvernement depuis la loi TEPA.
Surtout, il fait – enfin ! – passer la France de la logique de l’assistanat à celle de la solidarité active ou de l’insertion par le travail, …