Or la commission des finances a l’obsession – celle-ci est, je crois, partagée par la direction du budget – d’écrêter ces réserves inutiles et de faire en sorte que l’argent arrive là où il le faut, au bon rythme, en fonction des dépenses nécessaires.
Je confirme donc l’avis favorable de la commission sur l’amendement de Nicole Bricq, tout en préconisant l’adoption de l’amendement n° 242, qui est plus réaliste. Cette adoption aurait d’ailleurs pour effet de rendre inutile l’amendement n° 120 rectifié. Aussi, je vous suggère, madame Bricq, sous le bénéfice des explications que je viens de fournir, de bien vouloir retirer votre amendement.