C'est normal, monsieur le sénateur, car nous avons soulevé de nombreuses questions ! Que tous ces sujets méritent études et discussions n'a rien pour me choquer, car, après tout, nous n'avons pas la vérité révélée ! Il n'est pas simple de prendre position, d'arrêter des choix !
Par ailleurs, monsieur le rapporteur général, vous vous interrogiez sur le coût de cette mesure. Les services de mon ministère ont estimé le coût pour l'État en termes de dépenses fiscales à 100 millions d'euros par an, ce qui n'est pas négligeable.