Ceux qui n'ont pas de papiers seront reconduits à la frontière. Il est certes des cas humanitaires particulièrement difficiles. Ainsi, pour ce qui concerne cette famille malienne sans papiers dont l'enfant était gravement malade, j'ai demandé au préfet d'accorder une autorisation de séjour pour que cet enfant soit soigné dans notre pays, comme la tradition républicaine le veut.