On peut y parvenir, je le crois, sans pour autant laisser le département sur la touche, et le projet de loi lui-même en fait la démonstration. En effet, son article 2 organise de nouvelles modalités de délégation de compétences de l'action sociale, du président de conseil général vers le maire. Sur le même schéma, il n'est pas illogique de prévoir que le coordonnateur de l'action sociale auprès des familles sera désigné par le président du conseil général, mais que celui-ci peut choisir de déléguer cette compétence au maire.
Si le Sénat ne retient pas cette solution, ...