À cela s'ajoutent des retards fréquents, de nouvelles grilles horaires inadaptées, un coût des billets exorbitant et d'autres désagréments dont la presse régionale se fait quotidiennement l'écho.
L'exemple suivant est particulièrement significatif. Un retraité devant prendre un avion à Paris rate son TGV en gare de Metz en raison des embouteillages. « Ce n'est pas grave, se dit-il, je prendrai le prochain. Mon avion part demain, j'ai le temps. » On lui répond qu'il n'y a plus de places dans le prochain TGV. « Eh bien donnez-moi une place en train Corail ! » On lui indique que les trains Corail ont été supprimés. Il décide alors de prendre l'avion, mais apprend que les vols pour Paris ont malheureusement été supprimés eux aussi depuis la mise en service du TGV. On lui conseille enfin de se rendre au Luxembourg, tout proche, et c'est finalement là qu'il peut prendre un vol pour Paris.