Je vais y venir, monsieur le rapporteur général.
Vous avez seulement consenti à baisser votre prévision d’un quart de point pour 2012. Or il s’agit de l’année de tous les dangers. Le consensus économique table sur 1, 8 % pour cette même année. Même Rexecode a publié un pourcentage identique en fin de semaine dernière. Vous, vous programmez une croissance de 2, 25 % en 2012 et de 2, 5 % dès 2013.
Monsieur le rapporteur général, j’ai entendu votre interpellation, que j’avais un peu anticipée lors de la préparation de cet exposé. Si ce dernier pourcentage a été avancé par le parti socialiste, précisons que le calendrier retenu n’est pas le même que le vôtre : il vise la période 2012-2017.