Il vaudrait sans doute mieux instaurer une taxe ou un impôt en lieu et place de cette pénalité.
J’ajoute que 180 de nos pompiers ne pouvant pas intervenir sur les sinistres sont en voie de reclassement, sans pour autant être considérés comme des personnes handicapées. Le cumul de ces deux situations n’est pas sans conséquences.
Puisque vous avez pris l’engagement de remettre de l’ordre, monsieur le secrétaire d'État, il serait bien que vous vous penchiez sur les cas que je viens d’évoquer.