Plus on se tait, mieux c’est ! Mais je suis bien entendu disposé à en parler avec vous en privé.
J’insiste sur ce point, monsieur le sénateur, la fermeture de la base aérienne de Reims est liée au fait qu’il ne restera plus qu’un escadron de Mirage F1 CR. Je suis tout à fait prêt à discuter des conditions dans lesquelles nous pourrions fermer cette base et de ses conséquences. J’ai d’ailleurs lu dans la presse locale que la position des élus n’était pas forcément la même que celle des personnels et des syndicats de la base.