... soit, au total, vous aurez fait l'addition, mes chers collègues, 450 000 euros d'amende !
Certes, la pollution est réelle et ne peut être remise en cause, mais je me demande comment, si les peines proposées sont prononcées, ces jeunes pourront construire une unité de traitement adaptée à leur production et aux effluents viticoles qui en découlent, qui sont composés, nous le savons tous, de matières organiques. A coup sûr, c'est la ruine de leur entreprise !
Je vous remercie, monsieur le ministre, de bien vouloir répondre à toutes ces questions.