Evidemment, vous n'êtes nullement en cause, monsieur le président : au contraire, je tiens à vous remercier d'avoir pris en considération ma demande et accepté de retarder quelque peu les travaux en séance publique pour nous permettre de terminer nos auditions.
Force est de reconnaître que notre commission est particulièrement surchargée, et cela non pas depuis quelques semaines, mais depuis quelques années.