J’ai reçu ce matin un message d’une simple citoyenne, qui formule en termes poétiques ce que nous disons depuis vendredi dernier sur l’ensemble du projet de loi, notamment sur la situation des femmes. Ses mots, adressés à la représentation nationale, constitueront mon explication de vote :
« Qu’avons-nous fait pour que vous nous condamniez au travail à perpétuité