Ce que l’on peut regretter, c’est qu’au XXIe siècle, dans ce pays, on en soit encore à refuser le dialogue social, que les salariés doivent se mobiliser, faire grève, perdre des journées de travail pour obtenir un minimum de garanties sociales.
Monsieur le ministre, vous avez déclaré que les jeunes allaient payer pour les anciens. Mais vous n’avez pas répondu à une question, pourtant essentielle : pourquoi ne pas faire travailler les jeunes qui voudraient bien cotiser dès aujourd’hui, mais qui ne le peuvent pas parce qu’ils sont au chômage ?