Quelques questions, soulevées à plusieurs reprises, me paraissent revêtir une importance particulière dans ce débat d’une grande gravité.
D’abord, plusieurs orateurs ont insisté sur l’absolue nécessité d’impliquer, dans cette opération, le monde arabe. Nous partageons totalement cette position et, depuis le début, nous avons essayé de la mettre en œuvre.
Cela a été vrai à New York, lors de la préparation puis du vote de la résolution 1973 du Conseil de sécurité. Sans l’implication active du Liban, seul État arabe à siéger au Conseil de sécurité en cette période, nous n’aurions pas atteint cet objectif.