Vous avez vous-même engagé, en 1996, la privatisation de France Télécom en jurant, à l'époque, que l'État garderait 51 % du capital.
Avec la cession annoncée, l'État n'en détiendra plus que 25 %. Mais quels en sont d'ores et déjà les effets pour le secteur national et pour les usagers ?