Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, mesdames, messieurs les ministres, mes chers collègues, si les Français ont donné mandat à une opposition significative de ne pas laisser un homme seul gouverner au gré de ses seules aspirations après avoir donné à celui-ci la légitimité des urnes, c'est qu'ils ont été alertés : taxes redoutées par les plus pauvres, moins d'impôts pour les plus riches, au risque d'accroître la dette.
Vous dites « rupture », mais ce sont des recettes historiques de droite que vous servez.