M. François Fillon, Premier ministre. La meilleure preuve en est que, si c'est bien moi qui ai préparé la privatisation de France Télécom, je n'ai, hélas ! pas eu l'occasion de la mettre en oeuvre, puisque c'est un gouvernement de gauche qui a privatisé, et je l'en félicite, l'ensemble du secteur des télécommunications.