Madame Bricq, j’ai connu des files d’attente bien moins longues aux États-Unis qu’en France à cinq heures du matin !
En fait, c’est tout un état d’esprit qui doit être transformé, et nous ferions bien de nous inspirer de certains États partenaires pour inculquer à tous ceux qui se trouvent en contact avec des étrangers, qu’ils soient policiers, douaniers ou chauffeurs de taxi, la notion d’accueil et de service.
Ne pourrait-on, par exemple, prévoir l’impression d’une petite fiche « Bienvenue en France »