C’est pourtant très vraisemblable, au rythme où l’on va !
Je tiens à le dire, mon irritation ne se rapporte nullement à l’outre-mer ! Pas du tout ! Elle tient simplement au fait de découvrir, au sein du grand nombre d’amendements déposés sur ce collectif budgétaire, qu’il nous faut quasiment examiner la veille pour le lendemain, des dispositifs très complexes, qui auraient nécessité une expertise préalable. On manque de respect au Parlement !
En la matière, l’amendement n° 183 de notre collègue Éric Doligé était, si j’ose dire, puisé à bonne source, auprès d’un service ministériel.