Il s'agit sans doute là de l'un des points les plus importants de la réforme : quand demandera-t-on au juge de prendre une décision qui va s'imposer aux parents et quand travaillera-t-on avec l'aide à l'enfance ? Cette question se révèle en réalité cruciale ?
Nous avons, depuis le début, voulu améliorer la situation actuelle, qui voit, d'un côté, la justice parfois « embolisée » par des cas qui pourraient être traités directement par l'ASE