Je tiens tout de même à rappeler que nous parlons ici non pas de gestes déplacés - nous en sommes même très loin ! -, mais de crimes ! Il est donc logique que nous ne traitions pas ce sujet à la légère.
Nous pensons pour notre part, au sein de la commission, que ce dossier mérite d'être étudié et qu'il faut prendre le temps de le faire correctement.