Comme je l’avais indiqué dans mon propos liminaire, le nombre d’internes à former doit être déterminé en fonction des besoins de santé de la population et non pas en fonction des capacités de formation des subdivisions territoriales. Par cet amendement, je souhaite donc supprimer ce critère législatif.
À l’évidence, les capacités de formation sont beaucoup plus élevées dans les régions qui ont déjà des zones sur-denses importantes. Si l’on veut vraiment renforcer la démographie médicale dans les zones qui en ont besoin, il faut agir non pas à partir des capacités de formation, mais bien à partir des besoins de la population.