Monsieur le rapporteur général, moi non plus je ne suis pas en mesure d'évaluer les effets budgétaires de ce sous-amendement, car je n'ai pas fait les simulations nécessaires.
Je me réjouis que vous rejoigniez les positions du Gouvernement sur ce point de solidarité. C'est d'ailleurs l'illustration de ce que je disais au début de ce débat : cette réforme des dotations, qui dépasse les clivages politiques, est assez cohérente, à la fois avec les aspirations gouvernementales et celles de la majorité, et je pense que, légitimement, la gauche pourrait nous rejoindre sur ce sujet. C'est la raison pour laquelle je ne désespère pas d'avoir le vote de la gauche sur cette réforme des dotations. Ce serait un geste formidable, républicain ! §Je me tourne vers M. Charasse, qui manifeste en silence...