La volonté politique, monsieur le rapporteur général, s'émousse vite et n'est pas toujours bien comprise par nos concitoyens, si elle n'est pas suivie d'effet !
Il se trouve que M. le ministre, outre les deux premiers arguments qu'il a exposés, dont on peut discuter à l'infini et auxquels le Comité des finances locales a répondu, en a avancé un troisième, selon lequel il serait impossible de calculer les dotations de solidarité communautaire. Or, MM. Frécon et. Fréville prétendent le contraire et déclarent qu'une ligne spécifique leur est consacrée à cette fin.